Masters
The three founding partners are Université de Tours, Universitat Autònoma de Barcelona and Hannover Medical School.
Il s’agit d’un diplôme en partenariat international avec plusieurs partenaires européens (notamment Anvers, Catane, Lisbonne). Il s’agit de la seule spécialité de Master Recherche portée par les facultés de Médecine et de Pharmacie. Les enseignants sont principalement des HU de Limoges dans diverses spécialités. Une unité d’enseignement est délocalisée à l’étranger. Son objectif principal est de préparer les étudiants à la poursuite d’études en Doctorat. La sélection se fait sur dossier par la Commission Pédagogique (commune à tous les partenaires), en privilégiant les critères de motivation professionnelle et le choix du thème et du lieu de stage de recherche de 6 mois. Compte tenu de sa thématique et de son objectif pédagogique, le Master intéresse largement les candidats du secteur de la santé, en particulier originaires des régions d’endémie de maladies neurologiques tropicales, parasitaires ou liées à d’autres étiologies.
La première habilitation du Master date de 2004, et celle-ci a été renouvelée en 2008, 2012 et 2013. Le Jury est international. Le bilan durant la période 2006–2010 est le suivant : 38 étudiants ont été inscrits, 20 avaient une formation médicale, 1 était pharmacien, 1 était sociologue, les autres étaient scientifiques. 11 étaient de nationalité française, 21 venaient de pays africains, 4 de pays asiatiques et 2 d’autres parties du monde. 32 étudiants ont obtenu leur Master. Sur 2006–2009 (23 étudiants), 12 se sont inscrits en Thèse d’Université. Deux candidats ont reçu en 2009 une bourse d’excellence d’internationalisation des Master de l’université de Limoges.
Contact responsable
Dr Benoît Marin : benoit.marin@unilim.fr
Contact administratif
Nicole Léonard : elisabeth.grelier@unilim.fr ou 05 55 43 59 18
Objectifs
La spécialité (Master indifférencié) préparera aussi bien à des métiers accessibles en fin de diplôme qu’à la préparation d’une thèse d’université. La différence de débouchés tient au niveau de responsabilité de l’emploi :
- former au plus haut niveau des cadres destinés à prendre en charge tous les problèmes liés aux zoonoses et à leur contrôle dans l’environnement ;
- préparer des professionnels du contrôle des zoonoses dans les domaines de la santé publique, de la santé animale, de l’assainissement, de l’industrie agro-alimentaire, de la réglementation sanitaire internationale ;
- favoriser le développement de la recherche en matière de relations entre les affections d’origine animale et la probabilité de transmission à l’homme, et dans le domaine de l’épidémiologie et du contrôle des zoonoses.
Compétences
au terme de la formation, l’étudiant saura analyser et développer des activités de recherche dans le domaine de l’épidémiologie, du dépistage et du contrôle des zoonoses.S’il oriente son cursus vers la recherche, il aura acquis une certaine autonomie dans l’organisation de son axe de recherche, tout en maîtrisant la capacité de s’intégrer dans une équipe et d’en partager les objectifs. S’il se destine à intégrer d’emblée le monde professionnel, l’étudiant choisira des UE optionnelles qui lui permettront une efficacité immédiate.
Connaissances
au cours de la spécialité, l’étudiant aura acquis des connaissances théoriques et pratiques à travers les 2 UE du tronc commun consacrées aux zoonoses et à leur diagnostic, et les 2 UE optionnelles choisies traitant des applications agro-alimentaires (contrôle, réglementation, droit international), des applications à l’assainissement (génie civil, réglementation, abattage, utilisations industrielles, traitements des déchets) et du contrôle des zoonoses (santé publique, veille sanitaire,dépistage, vecteurs, prévention), qu’il aura validées (semestre 3). Ses connaissances seront approfondies dans le thème qu’il aura choisi au cours de son stage de 6 mois (semestre 4), grâce à une formation par la recherche ou à l’insertion dans le monde professionnel.
Programme
- zoonoses (facteurs de risques),
- diagnostic biologique,
- applications agro-alimentaires (contrôle, réglementation, droit international),
- applications à l’assainissement (génie civil, réglementation, abattage, utilisations industrielles, traitements des déchets),
- contrôle des zoonoses (santé publique, veille sanitaire, dépistage, vecteurs,
Profil des candidats
Le candidat au M2 doit avoir des connaissances dans les sciences de la vie, leur approche génétique, les biostatistiques, la biodiversité. Il doit avoir un niveau d’anglais au moins égal à B1 et doit être mobile.
Il doit posséder un intérêt particulier pour la santé humaine et animale, le contrôle des maladies infectieuses, les aspects réglementaires du domaine, les pays en développement ou émergents
Procédures d’inscription
Constitution du dossier de candidature :
Il comprend :
– Formulaire de candidature (téléchargeable sur le site de la faculté des sciences de Limoges : http://www.sciences.unilim.fr/sciences-de-la-vie/master-zoonoses-et-environnement/)
– Curriculum vitae complet incluant les stages éventuels déjà réalisés, et une adresse précise et fixe
– Diplômes et notes obtenues
– Lettre de motivation
– Dossier Campus France pour les étudiants étrangers.
La candidature se fait en 3 étapes :
- Candidature en ligne à partir de 2 mai et jusqu’au 12 juin inclus.
- Examen du dossier par la commission pédagogique.
- Si votre dossier est retenu vous recevrez les indications pour constituer votre dossier d’inscription administrative.
Informations complémentaires :
- Faculté de médecine, Scolarité, 2 rue du Docteur Marcland, 87025 LIMOGES Cedex
- Mél: scolaritesante@unilim.fr
Responsables M2
Bertrand COURTIOUX
Faculté de Pharmacie
bertrand.courtioux@unilim.fr
Tél. 33 (0) 555 43 58 27
Marie-Laure Darde
Faculté de Pharmacie
marie-laure.darde@unilim.fr
Tél. 33 (0) 555 05 61 60
Sites web
Formation et laboratoire : http://www.unilim.fr/ient-dev/
Université de Limoges : www.unilim.fr
Faculté des Sciences et Techniques : www.sciences.unilim.fr
Lieux de formation
Faculté de Pharmacie
Objectif général
Recherche et Professionnalisant.
Vocation d’insertion
Thèse ou cadres scientifiques (projets internationaux, entreprises pharmaceutiques).
Chercheur ou enseignant-chercheur, à la suite d’une thèse et d’un post doctorat, dans les universités et les organismes de recherche français et étrangers.
Expert scientifique/chargé de mission dans des projets nationaux ou internationaux de lutte ou de contrôle. Plus rarement, Cadre de recherche et développement (type Ingénieur d’étude) dans les entreprises privées du secteur pharmaceutique. Dans les tous les cas, la dimension internationale du métier (et donc la mobilité) est importante et ne doit pas être négligée.
Objectif spécifique
Etude des émergences et ré-émergences de maladies transmissibles humaines ou animales (dues à des prions, virus, procaryotes, eucaryotes unicellulaires et pluricellulaires) et des modifications des dynamiques épidémiques qui posent de très nombreux problèmes de santé publique et vétérinaire à l’échelle mondiale. Ce parcours à vision intégrative est à l’interface entre l’infectiologie, l’épidémiologie, l’évolution et n’oublie pas les enjeux économiques et sociaux du contrôle des maladies transmissibles.
Les divers types de maladies transmissibles humaines, et zoonotiques émergentes , ainsi que certaines maladies animales d’intérêt économique seront abordées de façon globale et pluridisciplinaire.
Mots clefs : Maladies Transmissibles – parasites – santé humaine – santé animale – zoonose – émergence – évolution – génomique – prédiction- contrôle – gestion.
Contact responsable
Dr Catherine Moulia – catherine.moulia@umontpellier.fr
Dr Laurent Gavotte – laurent.gavotte@umontpellier.fr
Informations complémentaires
Objectif général
Recherche et Professionnalisant.
Vocation d’insertion
Thèse ou cadres scientifiques (projets internationaux, entreprises pharmaceutiques).
Objectif spécifique
Le parcours DIPHE résulte de la diversité, sur le site montpelliérain, d’équipes étudiant l’écologie et l’évolution des maladies transmissibles et/ou utilisant les interactions hôte-parasite comme modèle d’étude.
DIPHE est ainsi à l’interface entre les approches médicale et vétérinaire des agents pathogènes et de leurs vecteurs et celles de l’écologie et de l’évolution. Cette mise en relation entre les différentes facettes des interactions hôte-parasite-environnement permet la mise en commun des compétences au travers de l’étude d’interactions, dont la diversité et la richesse de modalités sont une inépuisable source de questionnements et de modèles biologiques.
Mots clefs : Maladies Transmissibles – parasites – écologie – évolution.
Contact pédagogique
Dr Laurent Gavotte – laurent.gavotte@umontpellier.fr
Dr Sylvie Hurtrez-Boussès – sylvie.hurtrez-boussès@umontpellier.fr
Informations complémentaires
http://www.masters-biologie-ecologie.com/blog/parcours-diphe/
Objectif général
Recherche et Professionnalisant.
Vocation d’insertion
Thèse ou cadres scientifiques (projets internationaux, entreprises pharmaceutiques).
Chercheur ou enseignant-chercheur, à la suite d’une thèse et d’un post doctorat, dans les universités et les organismes de recherche français et étrangers.
Expert scientifique/chargé de mission dans des projets nationaux ou internationaux de lutte ou de contrôle. Plus rarement, Cadre de recherche et développement (type Ingénieur d’étude) dans les entreprises privées du secteur pharmaceutique. Dans les tous les cas, la dimension internationale du métier (et donc la mobilité) est importante et ne doit pas être négligée.
Objectif spécifique
Étude des émergences et ré-émergences de maladies transmissibles humaines ou animales (dues à des prions, virus, procaryotes, eucaryotes unicellulaires et pluricellulaires) et des modifications des dynamiques épidémiques qui posent de très nombreux problèmes de santé publique et vétérinaire à l’échelle mondiale. Ce parcours à vision intégrative est à l’interface entre l’infectiologie, l’épidémiologie, l’évolution et n’oublie pas les enjeux économiques et sociaux du contrôle des maladies transmissibles.
Les divers types de maladies transmissibles humaines, et zoonotiques émergentes , ainsi que certaines maladies animales d’intérêt économique seront abordées de façon globale et pluridisciplinaire.
Mots clefs : Maladies Transmissibles – parasites – santé humaine – santé animale – zoonose – émergence – évolution – génomique – prédiction- contrôle – gestion.
Contact pédagogique
Dr Catherine Moulia – catherine.moulia@umontpellier.fr
Dr Laurent Gavotte – laurent.gavotte@umontpellier.fr
Informations complémentaires
http://www.masters-biologie-ecologie.com/blog/parcours-epid/
Objectif général
Recherche et Professionnalisant.
Vocation d’insertion
L’objectif professionnel est de préparer au mieux les futurs doctorants aux diverses carrières de santé publique ou vétérinaire, d’enseignement et de recherche.
Un double diplôme
Le MIE fait désormais partie de l’offre de formation de deux universités:
– l’université Alassane Ouattara (République de Côte d’Ivoire)
– UM France
Les étudiants sont donc inscrits dans les deux universités et seront diplômés par les deux universités à l’issue du M2.
Il est soutenu fonctionnellement et scientifiquement par un partenariat avec l’IRD.
Les bailleurs de fonds soutenant le MIE sont l’IRD, la Coopération française, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS-TDR, OMS-APOC), l’Institut Pasteur (Direction des Affaires Internationales), le Centre de Recherche et de Veille sur les Maladies Émergentes dans l’Océan Indien (CRVOI), …
Objectif spécifique
La première année (M1) du parcours MIE se décline déroule soit en France et soit en Côte d’Ivoire.
La seconde année (M2) est entièrement regroupée et localisée en Côte d’Ivoire.
Les cours de M2 sont dispensés en français ou en anglais selon la nationalité des enseignants. Les étudiants devront donc avoir une maîtrise suffisante des deux langues. Le mémoire et l’exposé oral pourront être réalisés dans l’une de ces deux langues, selon la préférence du candidat.
Spécificité du M2 : Nécessité d’un soutien financier pour les frais de formation
En M2, la formation est entièrement localisée en Côte d’Ivoire, des frais de formation supplémentaires sont exigés en plus des inscriptions universitaires proprement dites. Ces frais spécifiques imposent l’obtention d’un financement couvrant : les frais pédagogiques spécifiques (incluant des frais de transports sur les sites d’études hors de ECI et le cout de matériel pédagogique personnel), une couverture sanitaire et responsabilité civile, les frais de vie durant l’année d’étude (dont les couts potentiellement liés à la période de stage – billet d’avion, logement sur place…), des frais de transport et des frais de fonctionnement spécifiques à la pédagogie. Ces frais doivent être pris en charge par un ou plusieurs bailleurs qui auront été recherchés par l’étudiant avec l’appui du secrétariat spécifique du MIE. Ces frais devront être versés au moment de l’inscription.
Contact pédagogique
Dr Catherine Moulia – catherine.moulia@umontpellier.fr
Informations complémentaires
Le Centre d’Entomologie Médicale et Vétérinaire (CEMV) de Bouaké (Côte d’Ivoire) propose, en collaboration avec l’Université de Montpellier (France) et l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD), le Master International d’Entomologie (MIE) médicale et vétérinaire, aux étudiants et professionnels du secteur de la santé, de l’agriculture et de l’environnement. Cette formation de haut niveau répond aux besoins de compétences nécessaires pour faire face à la menace des maladies émergentes à transmission vectorielle. Ce Master offre une co-diplômation au terme de cette 2ème année de formation. Les personnes souhaitant participer à la seconde année (M2) du MIE doivent impérativement consulter le site Internet du CEMV: www.cemv-ci.net pour s’informer sur les conditions d’admission et la procédure d’inscription
Objectifs du MIE
Le master International en Entomologie médicale et vétérinaire a pour objectifs de former des cadres, des chercheurs, des experts dans le domaine de la systématique des vecteurs, de la biologie et de l’écologie vectorielles, de la génétique des populations, de la génomique et du contrôle des vecteurs.
À l’issue de la formation, les diplômés maitrisent :
- les principaux vecteurs de maladies et les parasites qu’ils véhiculent (biologie, mode de transmission, génétique des populations)
- les méthodes et les outils d’identification des vecteurs
- les méthodes de lutte
- les clés leur permettant de conduire des recherches pluridisciplinaires en interagissant avec les disciplines connexes relevant des sciences humaines (économie de la santé, géographie de la santé, anthropologie de la santé) appliquées aux maladies vectorielles
Ils peuvent s’engager dans une voie professionnelle ou vers un doctorat.
Déroulement de la formation
La première année (M1) peut se faire à l’université de Montpellier en France ou au Centre d’Entomologie Médicale et Vétérinaire de l’Université Alassane Ouattara à Bouaké en Côte d’Ivoire.
La seconde année (M2) se déroule en deux parties : une partie théorique et pratique organisée autour de 6 modules d’enseignement valant 30 crédits qui se tient à Bouaké et à Bobo-Dioulasso (travaux dirigés sur le terrain) pendant 3,5 mois, puis un stage pratique de 17 semaines en laboratoire valant également 30 crédits. Les modules du M2 sont sanctionnés par des examens écrits qui ont lieu entre septembre et décembre de l’année universitaire. La partie pratique du stage est validée par la remise d’un mémoire et une soutenance orale devant un jury qui a lieu en juin de l’année universitaire. La partie théorique et la partie pratique ont le même coefficient.
Programme des enseignements en M2
- Module 1 : Notions d’arthropodologie médicale et vétérinaire et principales maladies à vecteurs
- Module 2 : Caractérisation et contrôle des vecteurs
- Module 3 : Disciplines associées, Outils de communication et Gestion de projets
- Module 4 : Travaux dirigés sur le terrain – Étude des vecteurs de l’onchocercose et des Trypanosomoses
- Module 5 : Travaux dirigés sur le terrain – Étude des vecteurs du Paludisme
- Module 6 : Travaux dirigés de laboratoire / Travaux dirigés sur le terrain – Étude des vecteurs de la schistosomiase et des maladies à tiques
- Stage M2 MIE de Recherche (laboratoire ou entreprise).
Les enseignements sont assurés par des professeurs des universités partenaires et des chercheurs professionnels de différentes institutions du nord et du sud.
Conditions d’admission au M2
Pour postuler au M2 du MIE, les candidats doivent être âgés de moins de 40 ans et constituer le dossier suivant :
Au niveau administratif, il faut :
- un curriculum vitae selon le modèle à télécharger
- une lettre de motivation mettant en évidence l’intérêt du candidat pour l’Entomologie médicale et vétérinaire, et mentionnant son projet professionnel et scientifique (1 page maximum)
- deux lettres de recommandation délivrées par des professeurs de rang magistral et/ou chercheurs de rang équivalent
- la copie du baccalauréat
- la copie du dernier diplôme obtenu donnant accès à la 2ème année du MIE ou, dans le cas des étudiants en cours de M1, l’attestation d’inscription universitaire correspondante
- une pièce d’état civil (acte de naissance ou jugement supplétif de naissance)
- une photocopie de la carte nationale d’identité en cours de validité ou un certificat de nationalité.
Au niveau académique, il faut :
- Avoir validé 60 crédits au niveau du Master 1 (M1) en Sciences du Vivant ;
- Ou être titulaire d’une Maîtrise universitaire classique en Sciences du Vivant
- d’un diplôme reconnu équivalent par les Universités Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire) et de Montpellier (France)
- d’un diplôme d’État de Doctorat en Médecine humaine, vétérinaire ou en Pharmacie ;
- d’un diplôme d’Ingénieur agronome (le diplôme d’Ingénieur du Développement Rural ne donne pas d’équivalence à un M1)
- d’un diplôme d’Ingénieur en génie sanitaire (le diplôme d’Ingénieur des Techniques Sanitaires ne donne pas d’équivalence à un M1)
- Maîtriser le Français (écrit et parlé). Un diplôme d’étude de langue française pour les anglophones pourrait être exigé le cas échéant.
NB : Les étudiants en cours de M1 (ou Maîtrise universitaire classique) qui n’ont pas encore leur diplôme et qui sont intéressés par le MIE doivent constituer leur dossier en spécifiant la date prévisionnelle d’obtention du diplôme.
Procédure d’inscription
Les candidats intéressés par le M2 MIE doivent :
- Télécharger le modèle de CV au format électronique Word en cliquant sur le lien bleu ci-dessous. Dans la boîte de dialogue qui s’affiche, choisissez « Enregistrer sous » pour sauvegarder votre fichier au format Word sur votre PC, et le nommer comme ci-après: CV_Nom.Prénom
- Remplir le CV avec les informations demandées
- Constituer un dossier comprenant le CV nommé comme indiqué plus haut, la lettre de motivation, les lettres de recommandation, la copie du baccalauréat, la copie du dernier diplôme obtenu et exigé, la pièce d’état civil, la copie de la carte d’identité. Aucun autre document ne doit être joint à ce dossier.
- Envoyer le dossier complet par mail au secrétariat du MIE à l’adresse : secretariat.mie.cemv@gmail.com.
- Le secrétariat du MIE vous adressera un e‑mail de confirmation.
Les dossiers seront examinés en juin et les étudiants dont les dossiers sont recevables seront informés de leur pré-inscription par courriel.
En cas de problème technique, et pour toute demande d’information, veuillez adresser un courriel au Secrétariat du MIE (secretariat.mie.cemv@gmail.com) en précisant bien l’objet de votre demande.
Du fait de sa localisation en Côte d’Ivoire et au Burkina Faso, l’inscription au M2 MIE nécessite le paiement de frais de formation qui s’élèvent à 12 000 € soit 7 900 000 FCFA. Ces frais permettent de couvrir pour chaque étudiant, une allocation de subsistance pour les 9 mois de cours et les frais liés aux enseignements. Le MIE ne dispose pas de bourse à cet effet et il encourage les étudiants à rechercher activement par eux-mêmes ce financement auprès de leur institution de rattachement, et de bailleurs de fonds comme l’Agence Universitaire Francophone, les services culturels des ambassades, la Banque Islamique de Développement, les Ministères de l’Enseignement supérieur de leur pays. L’équipe pédagogique du MIE peut assister les étudiants dans leur recherche. L’inscription ne sera considérée comme définitive que si le montant des frais de formation est réglé au moment de la rentrée.
Diplômes universitaires
Ce cours Pasteur-IRD se focalise sur les maladies dont les agents étiologiques sont transmis par vecteurs et qui constituent un problème majeur de santé publique. Les pays de la zone intertropicale sont concernés au premier chef, mais les zones tempérées ne sont pas épargnées avec la survenue récente de maladies vectorielles et les récentes invasions d’espèces vectrices.
La compréhension globale des relations hôte-vecteur et vecteur-agent pathogène est fondamentale dans l’étude de ces maladies. C’est cette approche que le cours va promouvoir pour former des entomologistes médicaux capables d’apprécier le rôle des vecteurs dans le fonctionnement des écosystèmes vectoriels et d’envisager la rupture de la chaine de transmission vectorielle.
L’entomologie médicale est une discipline phare pour de nombreux pasteuriens et irdiens du passé et d’aujourd’hui ; dans ce lignage, ce cours associe délibérément tradition et modernité.
Des conférences seront données le matin par des chercheurs spécialistes, pour présenter les connaissances classiques et les plus récentes concernant la biologie des arthropodes hématophages, les agents infectieux transmis – en insistant sur leurs modes de transmission -, et les maladies associées.
Des travaux pratiques participatifs seront proposés l’après-midi, également par des chercheurs spécialistes, autour des principales familles d’insectes et de tiques vecteurs ou nuisants, ainsi qu’autour des principales techniques utilisées en entomologie médicale.
Les étudiant(e)s sont invité(e)s à participer activement aux échanges avec les responsables et les intervenants, au cours des conférences, pendant les trois tables-rondes et lors d’un exposé individuel devant un jury de spécialistes sur un sujet d’entomologie médicale non traité en conférence.
Ce cours IP-IRD aura lieu chaque année paire à l’Institut Pasteur Paris. Un atelier d’une durée de 2 semaines abordant une thématique d’entomologie médicale y sera adossée. Cet atelier sera réalisé dans un institut du RIIP les années impaires sur un sujet d’importance pour la région.
Sponsor : Nous remercions le LabEx IBEID pour son soutien.
CANDIDATURES
Les candidatures sont évaluées par le Comité du cours.
Membres du Comité du Cours : E. Coeffier-Vicart (Institut Pasteur) ; A.B. Failloux (Institut Pasteur) ; A. Fontanet (Institut Pasteur) ; F. Rodhain (Institut Pasteur) ; C. Rogier (IRBA) ; V. Robert (IRD) ; M. Sala (Institut Pasteur), H. Waxin (Institut Pasteur) ; Olivier Silvie (UPMC)
Contact : enseignement@pasteur.fr
Objectifs
Approfondir et remettre à jour les connaissances en matière de Pharmacie Vétérinaire pour un meilleur conseil à l’officine. Le but de ce DU n’est pas de remplacer le vétérinaire mais de pouvoir donner de véritables conseils à l’officine et de savoir réorienter le client vers un vétérinaire en cas de nécessité
Compétences
Etre capable de savoir donner un bon conseil vétérinaire au comptoir. Savoir rediriger vers le vétérinaire en cas d’urgence.
Justification de la formation
Les pharmaciens ont une formation très succincte en matière de pharmacie vétérinaire lors de leur cursus universitaire. Pourtant ils sont confrontés à de nombreux cas de comptoir concernant les animaux de compagnie de leurs clients. Près d’un foyer sur 2 possède un animal familier, soit un client sur 2 qui entre à la pharmacie possède un animal de compagnie. La France est le 2ème marché de santé animale au monde avec 41 millions d’animaux de rente (bovins, porcs, ovins, caprins), 301 millions de volailles (poulets, dindes, pintades, canard), 9 millions de lapins, 800 000 chevaux, sans oublier 7,3 millions de chiens et 12,7 millions de chats, 2,84 millions de petits Mammifères, 5,75 millions d’oiseaux et 34,22 millions de poissons (enquête FACCO/TNS SOFRES, mai 2015). Des animaux de compagnie en bonne santé contribuent à l’équilibre affectif et psychologique d’une large part de la population. C’est pourquoi, il est du devoir du pharmacien de savoir conseiller correctement au comptoir la population. De plus, selon l’organisation mondiale de la Santé Animale, 75 % des maladies émergentes chez l’homme sont d’origine animale. En contribuant à prévenir les maladies animales infectieuses, le médicament vétérinaire participe à la sécurité sanitaire.
Contenu
– Biologie, soins et suivi d’un animal de compagnie : chien, chat
– Dermatologie
– Bactériologie – virologie
– Parasitologie
– Homéopathie vétérinaire
– Cancérologie
– Toxicologie
– Nouveaux Animaux de Compagnie (NAC) : furet, rat, cochon d’Inde…
– Chevaux
– Animaux de Rente : bovins, ovins, suidés, équidés
– Législation
– Représentants pharmaceutiques de produits vétérinaires
Organisation – Validation
La préparation du Diplôme s’effectue en 3 semaines de cours (102 heures d’enseignement + 2 heures d’examen).
Les connaissances acquises sont contrôlées par un examen écrit. Deux sessions seront organisées. Les candidats, absents à la 1ère session et non excusés par courrier justificatif, ne pourront se présenter à la 2ème session.
Public concerné
– Pharmaciens
– Médecins
– Préparateurs en pharmacie
– Étudiants en Pharmacie ayant validé la 5ème Année
Sur dossier examiné par la direction pédagogique : toute personne ayant qualité pour délivrer des médicaments vétérinaires.
– Effectif maximum/groupe : 20
Enseignants
Professeurs et Maîtres de Conférences de l’Université de Lille – Droit et Santé, Faculté des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques de Lille,
Professeurs et Maîtres de Conférences de l’École Nationale Vétérinaire d’Alfort,
Professeurs de l’Institut de Genech,
Docteurs Vétérinaires Praticiens,
Docteurs en Pharmacie (Officine).
Coordination
Responsable de la Formation : Christine Demanche
Faculté des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques de Lille
e‑mail : christine.demanche@univ-lille2.fr
Responsable du service de Formation Pharmaceutique Continue :
Véronique DE LA BROISE SARAMAK
Département F.Ph.C.
Faculté des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques
3, Rue du Professeur Laguesse
B.P. 83 – 59006 LILLE Cédex
e‑mail : veronique.delabroise@univ-lille2.fr
Site web
Lieu de formation : Faculté des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques de Lille
DU organisé par le Service de Parasitologie, Faculté de Médecine, Université Rennes 1, en partenariat avec le Service de Maladies infectieuses.
Objectifs
- Acquérir des connaissances médicales sur les maladies tropicales et autres maladies infectieuses endémiques: diagnostic, prise en charge, épidémiologie et moyens de lutte (Module Médecine sous les tropiques). Notions également de pathologies tropicales non infectieuses : envenimations, dénutrition…
- Acquérir des connaissances médicales sur la médecine des voyages (Module Médecine des voyages)
- Connaître l’organisation des moyens humanitaires et la gestion de situations d’urgence (Module Médecine d’urgence et humanitaire)
- Acquérir des notions pratiques simples de diagnostic biologique (Module Biologie sous les tropiques)
Organisation pratique
- Cours (h) et TP (h) d’octobre à juin, à raison de 2 jours par mois (jeudi-vendredi). Intervention d’enseignants de Parasitologie, Microbiologie, Virologie, Maladies infectieuses, Dermatologie, Hépatologie de Rennes et d’autres CHU, de médecins humanitaires (Epicentre), militaires, de Biologie sans Frontières…
- Examen en juin : examen théorique, examen pratique (reconnaissances parasitologiques de base et diagnostic de paludisme), et présentation orale en juin ou septembre (lecture critique d’article ou mémoire court sur une expérience professionnelle tropicale ou de synthèse bibliographique)
Public
Internes, médecins, pharmaciens, infirmiers, sages-femmes.
Inscriptions
- Candidature à partir de mai par courrier, avec lettre de motivation et CV
- Sélection et confirmation des inscriptions durant l’été
Renseignements et inscriptions
Secrétariat de Parasitologie, ou Pr Jean-Pierre Gangneux
Faculté de Médecine, 2 avenue Professeur Léon Bernard, 35043 Rennes cedex.
Tel. 02 23 23 47 27
Aides à l’enseignement, l’apprentissage
Un message de la part du Pr Dominique Chabasse:
Le site eanofel a été présenté au congrès de la SFP-SFMM à Grenoble en « prime time ».
Il est destiné à toute la communauté des Parasitologues et des Mycologues, il va désormais remplacer la saga des CD-Rom ANOFEL devenus obsolètes, il doit maintenant se développer, s’enrichir de nouveaux documents iconographiques, chacun d’entre nous possède certainement dans son domaine de prédilection quelques iconographies rares où originales, de haute valeur pédagogique, pouvant être diffusées, tout cela réunit peut être un outil commun à nous tous.
Donc merci à tous d’enrichir la collection en envoyant des photos.
Site d’aide au diagnostic de quelques espèces de mollusques d’intérêt médical et vétérinaire.
coccidioses aviaires (poulet, avec ou sans dinde)
Un petit site internet sur les parasites des volailles :