Enseignements


Masters

The three foun­ding part­ners are Université de Tours, Universitat Autònoma de Barcelona and Hannover Medical School.

https://www.univ-tours.fr/formations/master-sciences-technologies-sante-mention-sciences-du-vivant-parcours-infectious-diseases-and-one-health-erasmus-plus

Il s’agit d’un diplôme en par­te­na­riat inter­na­tio­nal avec plu­sieurs par­te­naires euro­péens (notam­ment Anvers, Catane, Lisbonne). Il s’agit de la seule spé­cia­li­té de Master Recherche por­tée par les facul­tés de Médecine et de Pharmacie. Les ensei­gnants sont prin­ci­pa­le­ment des HU de Limoges dans diverses spé­cia­li­tés. Une uni­té d’enseignement est délo­ca­li­sée à l’étranger. Son objec­tif prin­ci­pal est de pré­pa­rer les étu­diants à la pour­suite d’études en Doctorat. La sélec­tion se fait sur dos­sier par la Commission Pédagogique (com­mune à tous les par­te­naires), en pri­vi­lé­giant les cri­tères de moti­va­tion pro­fes­sion­nelle et le choix du thème et du lieu de stage de recherche de 6 mois. Compte tenu de sa thé­ma­tique et de son objec­tif péda­go­gique, le Master inté­resse lar­ge­ment les can­di­dats du sec­teur de la san­té, en par­ti­cu­lier ori­gi­naires des régions d’endémie de mala­dies neu­ro­lo­giques tro­pi­cales, para­si­taires ou liées à d’autres étiologies.

La pre­mière habi­li­ta­tion du Master date de 2004, et celle-ci a été renou­ve­lée en 2008, 2012 et 2013. Le Jury est inter­na­tio­nal. Le bilan durant la période 2006–2010 est le sui­vant : 38 étu­diants ont été ins­crits, 20 avaient une for­ma­tion médi­cale, 1 était phar­ma­cien, 1 était socio­logue, les autres étaient scien­ti­fiques. 11 étaient de natio­na­li­té fran­çaise, 21 venaient de pays afri­cains, 4 de pays asia­tiques et 2 d’autres par­ties du monde. 32 étu­diants ont obte­nu leur Master. Sur 2006–2009 (23 étu­diants), 12 se sont ins­crits en Thèse d’Université. Deux can­di­dats ont reçu en 2009 une bourse d’excellence d’internationalisation des Master de l’université de Limoges.

Contact responsable

Dr Benoît Marin : benoit.marin@unilim.fr

Contact administratif

Nicole Léonard : elisabeth.grelier@unilim.fr ou 05 55 43 59 18

→ http://www.medecine.unilim.fr/spip.php?article88

Objectifs

La spé­cia­li­té (Master indif­fé­ren­cié) pré­pa­re­ra aus­si bien à des métiers acces­sibles en fin de diplôme qu’à la pré­pa­ra­tion d’une thèse d’université. La dif­fé­rence de débou­chés tient au niveau de res­pon­sa­bi­li­té de l’emploi :

  • for­mer au plus haut niveau des cadres des­ti­nés à prendre en charge tous les pro­blèmes liés aux zoo­noses et à leur contrôle dans l’environnement ;
  • pré­pa­rer des pro­fes­sion­nels du contrôle des zoo­noses dans les domaines de la san­té publique, de la san­té ani­male, de l’assainissement, de l’industrie agro-ali­men­taire, de la régle­men­ta­tion sani­taire internationale ;
  • favo­ri­ser le déve­lop­pe­ment de la recherche en matière de rela­tions entre les affec­tions d’origine ani­male et la pro­ba­bi­li­té de trans­mis­sion à l’homme, et dans le domaine de l’épidémiologie et du contrôle des zoonoses.
Compétences

au terme de la for­ma­tion, l’étudiant sau­ra ana­ly­ser et déve­lop­per des acti­vi­tés de recherche dans le domaine de l’épidémiologie, du dépis­tage et du contrôle des zoonoses.S’il oriente son cur­sus vers la recherche, il aura acquis une cer­taine auto­no­mie dans l’organisation de son axe de recherche, tout en maî­tri­sant la capa­ci­té de s’intégrer dans une équipe et d’en par­ta­ger les objec­tifs. S’il se des­tine à inté­grer d’emblée le monde pro­fes­sion­nel, l’étudiant choi­si­ra des UE option­nelles qui lui per­met­tront une effi­ca­ci­té immédiate.

Connaissances 

au cours de la spé­cia­li­té, l’étudiant aura acquis des connais­sances théo­riques et pra­tiques à tra­vers les 2 UE du tronc com­mun consa­crées aux zoo­noses et à leur diag­nos­tic, et les 2 UE option­nelles choi­sies trai­tant des appli­ca­tions agro-ali­men­taires (contrôle, régle­men­ta­tion, droit inter­na­tio­nal), des appli­ca­tions à l’assainissement (génie civil, régle­men­ta­tion, abat­tage, uti­li­sa­tions indus­trielles, trai­te­ments des déchets) et du contrôle des zoo­noses (san­té publique, veille sanitaire,dépistage, vec­teurs, pré­ven­tion), qu’il aura vali­dées (semestre 3). Ses connais­sances seront appro­fon­dies dans le thème qu’il aura choi­si au cours de son stage de 6 mois (semestre 4), grâce à une for­ma­tion par la recherche ou à l’insertion dans le monde professionnel.

Programme
  • zoo­noses (fac­teurs de risques),
  • diag­nos­tic biologique,
  • appli­ca­tions agro-ali­men­taires (contrôle, régle­men­ta­tion, droit international),
  • appli­ca­tions à l’assainissement (génie civil, régle­men­ta­tion, abat­tage, uti­li­sa­tions indus­trielles, trai­te­ments des déchets),
  • contrôle des zoo­noses (san­té publique, veille sani­taire, dépis­tage, vecteurs,
Profil des candidats

Le can­di­dat au M2 doit avoir des connais­sances dans les sciences de la vie, leur approche  géné­tique, les bio­sta­tis­tiques, la bio­di­ver­si­té. Il doit avoir un niveau d’anglais au moins égal à B1 et doit être mobile.
Il doit pos­sé­der un inté­rêt par­ti­cu­lier pour la san­té humaine et ani­male, le contrôle des mala­dies infec­tieuses, les aspects régle­men­taires du domaine, les pays en déve­lop­pe­ment ou émergents

Procédures d’inscription

Constitution du dos­sier de can­di­da­ture :
Il com­prend :

– Formulaire de can­di­da­ture (télé­char­geable sur le site de la facul­té des sciences de Limoges : http://www.sciences.unilim.fr/sciences-de-la-vie/master-zoonoses-et-environnement/)
– Curriculum vitae com­plet incluant les stages éven­tuels déjà réa­li­sés, et une adresse pré­cise et fixe
– Diplômes et notes obte­nues
– Lettre de moti­va­tion
– Dossier Campus France pour les étu­diants étrangers.

La can­di­da­ture se fait en 3 étapes :

  1. Candidature en ligne à par­tir de 2 mai et jusqu’au 12 juin inclus.
  2. Examen du dos­sier par la com­mis­sion pédagogique.
  3. Si votre dos­sier est rete­nu vous rece­vrez les indi­ca­tions pour consti­tuer votre dos­sier d’inscription administrative.

Informations com­plé­men­taires :

Responsables M2

Bertrand COURTIOUX
Faculté de Pharmacie
bertrand.courtioux@unilim.fr
Tél. 33 (0) 555 43 58 27

Marie-Laure Darde
Faculté de Pharmacie
marie-laure.darde@unilim.fr
Tél. 33 (0) 555 05 61 60

Sites web

Formation et labo­ra­toire : http://www.unilim.fr/ient-dev/
Université de Limoges : www.unilim.fr
Faculté des Sciences et Techniques : www.sciences.unilim.fr

Lieux de formation

Faculté de Pharmacie

Objectif général

Recherche et Professionnalisant.

Vocation d’insertion

Thèse ou  cadres scien­ti­fiques (pro­jets inter­na­tio­naux, entre­prises pharmaceutiques).

Chercheur ou ensei­gnant-cher­cheur, à la suite d’une thèse et d’un post doc­to­rat, dans les uni­ver­si­tés et les orga­nismes de recherche fran­çais et étrangers.

Expert scientifique/chargé de mis­sion dans des pro­jets natio­naux ou inter­na­tio­naux de lutte ou de contrôle. Plus rare­ment, Cadre de recherche et déve­lop­pe­ment (type Ingénieur d’étude) dans les entre­prises pri­vées du sec­teur phar­ma­ceu­tique. Dans les tous les cas, la dimen­sion inter­na­tio­nale du métier (et donc la mobi­li­té) est impor­tante et ne doit pas être négligée.

Objectif spécifique 

Etude des émer­gences et ré-émer­gences de mala­dies trans­mis­sibles humaines ou ani­males (dues à des prions, virus, pro­ca­ryotes, euca­ryotes uni­cel­lu­laires et plu­ri­cel­lu­laires) et des modi­fi­ca­tions des dyna­miques épi­dé­miques qui posent de très nom­breux pro­blèmes de san­té publique et vété­ri­naire à l’échelle mon­diale. Ce par­cours à vision inté­gra­tive est à l’interface entre l’infectiologie, l’épidémiologie, l’évolution et  n’oublie pas les enjeux éco­no­miques et sociaux du contrôle des mala­dies transmissibles.

Les divers types de mala­dies trans­mis­sibles humaines, et zoo­no­tiques émer­gentes , ain­si que cer­taines mala­dies ani­males d’intérêt éco­no­mique seront abor­dées de façon glo­bale et pluridisciplinaire.

Mots clefs : Maladies Transmissibles – para­sites – san­té humaine – san­té ani­male – zoo­nose – émer­gence – évo­lu­tion – géno­mique – pré­dic­tion- contrôle – gestion.

Contact responsable

Dr Catherine Moulia – catherine.moulia@umontpellier.fr

Dr Laurent Gavotte – laurent.gavotte@umontpellier.fr

Informations complémentaires

http://www.masters-biologie-ecologie.com/blog/parcours-epi/

Objectif général 

Recherche et Professionnalisant.

Vocation d’insertion 

Thèse ou  cadres scien­ti­fiques (pro­jets inter­na­tio­naux, entre­prises pharmaceutiques).

Objectif spécifique 

Le par­cours DIPHE résulte de la diver­si­té, sur le site mont­pel­lié­rain, d’équipes étu­diant l’écologie et l’évolution des mala­dies trans­mis­sibles et/ou uti­li­sant les inter­ac­tions hôte-para­site comme modèle d’étude.

DIPHE est ain­si à l’interface entre les approches médi­cale et vété­ri­naire des agents patho­gènes et de leurs vec­teurs et celles de l’écologie et de l’évolution. Cette mise en rela­tion entre les dif­fé­rentes facettes des inter­ac­tions hôte-para­site-envi­ron­ne­ment per­met la mise en com­mun des com­pé­tences au tra­vers de l’étude d’interactions, dont la diver­si­té et la richesse de moda­li­tés sont une inépui­sable source de ques­tion­ne­ments et de modèles biologiques.

Mots clefs : Maladies Transmissibles – para­sites – éco­lo­gie – évolution.

Contact pédagogique

Dr Laurent Gavotte – laurent.gavotte@umontpellier.fr

Dr Sylvie Hurtrez-Boussès – sylvie.hurtrez-boussès@umontpellier.fr

Informations complémentaires

http://www.masters-biologie-ecologie.com/blog/parcours-diphe/

Objectif général 

Recherche et Professionnalisant.

Vocation d’insertion 

Thèse ou  cadres scien­ti­fiques (pro­jets inter­na­tio­naux, entre­prises pharmaceutiques).

Chercheur ou ensei­gnant-cher­cheur, à la suite d’une thèse et d’un post doc­to­rat, dans les uni­ver­si­tés et les orga­nismes de recherche fran­çais et étrangers.

Expert scientifique/chargé de mis­sion dans des pro­jets natio­naux ou inter­na­tio­naux de lutte ou de contrôle. Plus rare­ment, Cadre de recherche et déve­lop­pe­ment (type Ingénieur d’étude) dans les entre­prises pri­vées du sec­teur phar­ma­ceu­tique. Dans les tous les cas, la dimen­sion inter­na­tio­nale du métier (et donc la mobi­li­té) est impor­tante et ne doit pas être négligée.

Objectif spécifique 

Étude des émer­gences et ré-émer­gences de mala­dies trans­mis­sibles humaines ou ani­males (dues à des prions, virus, pro­ca­ryotes, euca­ryotes uni­cel­lu­laires et plu­ri­cel­lu­laires) et des modi­fi­ca­tions des dyna­miques épi­dé­miques qui posent de très nom­breux pro­blèmes de san­té publique et vété­ri­naire à l’échelle mon­diale. Ce par­cours à vision inté­gra­tive est à l’interface entre l’infectiologie, l’épidémiologie, l’évolution et  n’oublie pas les enjeux éco­no­miques et sociaux du contrôle des mala­dies transmissibles.

Les divers types de mala­dies trans­mis­sibles humaines, et zoo­no­tiques émer­gentes , ain­si que cer­taines mala­dies ani­males d’intérêt éco­no­mique seront abor­dées de façon glo­bale et pluridisciplinaire.

Mots clefs : Maladies Transmissibles – para­sites – san­té humaine – san­té ani­male – zoo­nose – émer­gence – évo­lu­tion – géno­mique – pré­dic­tion- contrôle – gestion.

Contact pédagogique

Dr Catherine Moulia – catherine.moulia@umontpellier.fr

Dr Laurent Gavotte – laurent.gavotte@umontpellier.fr

Informations complémentaires

http://www.masters-biologie-ecologie.com/blog/parcours-epid/

Objectif général

Recherche et Professionnalisant.

Vocation d’insertion

L’objectif pro­fes­sion­nel est de pré­pa­rer au mieux les futurs doc­to­rants aux diverses car­rières de san­té publique ou vété­ri­naire, d’enseignement et de recherche.

Un double diplôme

Le MIE fait désor­mais par­tie de l’offre de for­ma­tion de deux universités:

– l’université Alassane Ouattara (République de Côte d’Ivoire)

– UM France

Les étu­diants sont donc ins­crits dans les deux uni­ver­si­tés et seront diplô­més par les deux uni­ver­si­tés à l’issue du M2.

Il est sou­te­nu  fonc­tion­nel­le­ment et scien­ti­fi­que­ment par un par­te­na­riat avec l’IRD.
Les bailleurs de fonds sou­te­nant le MIE sont l’IRD, la Coopération fran­çaise, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS-TDR, OMS-APOC), l’Institut Pasteur (Direction des Affaires Internationales), le Centre de Recherche et de Veille sur les Maladies Émergentes dans l’Océan Indien (CRVOI), …

Objectif spécifique

La pre­mière année (M1) du par­cours MIE se décline déroule soit  en France et soit en  Côte d’Ivoire.

La seconde année (M2) est entiè­re­ment regrou­pée et loca­li­sée en Côte d’Ivoire.

Les cours de M2 sont dis­pen­sés en fran­çais ou en anglais selon la natio­na­li­té des ensei­gnants. Les étu­diants devront donc avoir une maî­trise suf­fi­sante des deux langues. Le mémoire et l’exposé oral pour­ront être réa­li­sés dans l’une de ces deux langues, selon la pré­fé­rence du candidat.

Spécificité du M2 : Nécessité d’un soutien financier pour les frais de formation

En M2, la for­ma­tion est entiè­re­ment loca­li­sée en Côte d’Ivoire, des frais de for­ma­tion sup­plé­men­taires sont exi­gés en plus des  ins­crip­tions uni­ver­si­taires pro­pre­ment dites. Ces frais spé­ci­fiques imposent l’obtention d’un finan­ce­ment cou­vrant : les frais péda­go­giques spé­ci­fiques (incluant des frais de trans­ports sur les sites d’études hors de ECI et le cout de maté­riel péda­go­gique per­son­nel), une cou­ver­ture sani­taire et res­pon­sa­bi­li­té civile, les frais de vie durant l’année d’étude (dont les couts poten­tiel­le­ment liés à la période de stage – billet d’avion, loge­ment sur place…), des frais de trans­port et des frais de fonc­tion­ne­ment spé­ci­fiques à la péda­go­gie. Ces frais doivent être pris en charge par un ou plu­sieurs bailleurs qui auront été recher­chés par l’étudiant avec l’appui du secré­ta­riat spé­ci­fique du MIE. Ces frais devront être ver­sés au moment de l’inscription.

Contact pédagogique

Dr Catherine Moulia – catherine.moulia@umontpellier.fr

Informations complémentaires

http://www.masters-biologie-ecologie.com/blog/parcours-mie/

Le Centre d’Entomologie Médicale et Vétérinaire (CEMV) de Bouaké (Côte d’Ivoire) pro­pose, en col­la­bo­ra­tion avec l’Université de Montpellier (France) et l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD), le Master International d’Entomologie (MIE) médi­cale et vété­ri­naire, aux étu­diants et pro­fes­sion­nels du sec­teur de la san­té, de l’agriculture et de l’environnement. Cette for­ma­tion de haut niveau répond aux besoins de com­pé­tences néces­saires pour faire face à la menace des mala­dies émer­gentes à trans­mis­sion vec­to­rielle. Ce Master offre une co-diplô­ma­tion au terme de cette 2ème année de for­ma­tion. Les per­sonnes sou­hai­tant par­ti­ci­per à la seconde année (M2) du MIE doivent impé­ra­ti­ve­ment consul­ter le site Internet du CEMV: www.cemv-ci.net  pour s’informer sur les condi­tions d’admission et la pro­cé­dure d’inscription

Objectifs du MIE

Le mas­ter International en Entomologie médi­cale et vété­ri­naire a pour objec­tifs de for­mer des cadres, des cher­cheurs, des experts dans le domaine de la sys­té­ma­tique des vec­teurs, de la bio­lo­gie et de l’écologie vec­to­rielles, de la géné­tique des popu­la­tions, de la géno­mique et du contrôle des vec­teurs.
À l’issue de la for­ma­tion, les diplô­més maitrisent :

  • les prin­ci­paux vec­teurs de mala­dies et les para­sites qu’ils véhi­culent (bio­lo­gie, mode de trans­mis­sion, géné­tique des populations)
  • les méthodes et les outils d’identification des vecteurs
  • les méthodes de lutte
  • les clés leur per­met­tant de conduire des recherches plu­ri­dis­ci­pli­naires en inter­agis­sant avec les dis­ci­plines connexes rele­vant des sciences humaines (éco­no­mie de la san­té, géo­gra­phie de la san­té, anthro­po­lo­gie de la san­té) appli­quées aux mala­dies vectorielles

Ils peuvent s’engager dans une voie pro­fes­sion­nelle ou vers un doctorat.

Déroulement de la formation

La pre­mière année (M1) peut se faire à l’université de Montpellier en France ou au Centre d’Entomologie Médicale et Vétérinaire de l’Université Alassane Ouattara à Bouaké en Côte d’Ivoire.

La seconde année (M2) se déroule en deux par­ties : une par­tie théo­rique et pra­tique orga­ni­sée autour de 6 modules d’enseignement valant 30 cré­dits qui se tient à Bouaké et à Bobo-Dioulasso (tra­vaux diri­gés sur le ter­rain) pen­dant 3,5 mois, puis un stage pra­tique de 17 semaines en labo­ra­toire valant éga­le­ment 30 cré­dits. Les modules du M2 sont sanc­tion­nés par des exa­mens écrits qui ont lieu entre sep­tembre et décembre de l’année uni­ver­si­taire. La par­tie pra­tique du stage est vali­dée par la remise d’un mémoire et une sou­te­nance orale devant un jury qui a lieu en juin de l’année uni­ver­si­taire. La par­tie théo­rique et la par­tie pra­tique ont le même coefficient.

Programme des enseignements en M2
  • Module 1 : Notions d’arthropodologie médi­cale et vété­ri­naire et prin­ci­pales mala­dies à vecteurs
  • Module 2 : Caractérisation et contrôle des vecteurs
  • Module 3 : Disciplines asso­ciées, Outils de com­mu­ni­ca­tion et Gestion de projets
  • Module 4 : Travaux diri­gés sur le ter­rain – Étude des vec­teurs de l’onchocercose et des Trypanosomoses
  • Module 5 : Travaux diri­gés sur le ter­rain – Étude des vec­teurs du Paludisme
  • Module 6 : Travaux diri­gés de labo­ra­toire / Travaux diri­gés sur le ter­rain – Étude des vec­teurs de la schis­to­so­miase et des mala­dies à tiques
  • Stage M2 MIE de Recherche (labo­ra­toire ou entreprise).

Les ensei­gne­ments sont assu­rés par des pro­fes­seurs des uni­ver­si­tés par­te­naires et des cher­cheurs pro­fes­sion­nels de dif­fé­rentes ins­ti­tu­tions du nord et du sud.

Conditions d’admission au M2

Pour pos­tu­ler au M2 du MIE, les can­di­dats doivent être âgés de moins de 40 ans et consti­tuer le dos­sier suivant :

Au niveau admi­nis­tra­tif, il faut :

  • un cur­ri­cu­lum vitae selon le modèle à télécharger
  • une lettre de moti­va­tion met­tant en évi­dence l’intérêt du can­di­dat pour l’Entomologie médi­cale et vété­ri­naire, et men­tion­nant son pro­jet pro­fes­sion­nel et scien­ti­fique (1 page maximum)
  • deux lettres de recom­man­da­tion déli­vrées par des pro­fes­seurs de rang magis­tral et/ou cher­cheurs de rang équivalent
  • la copie du baccalauréat
  • la copie du der­nier diplôme obte­nu don­nant accès à la 2ème année du MIE ou, dans le cas des étu­diants en cours de M1, l’attes­ta­tion d’inscription uni­ver­si­taire correspondante
  • une pièce d’état civil (acte de nais­sance ou juge­ment sup­plé­tif de naissance)
  • une pho­to­co­pie de la carte natio­nale d’identité en cours de vali­di­té ou un cer­ti­fi­cat de nationalité.

Au niveau aca­dé­mique, il faut :

  • Avoir vali­dé 60 cré­dits au niveau du Master 1 (M1) en Sciences du Vivant ;
  • Ou être titu­laire d’une Maîtrise uni­ver­si­taire clas­sique en Sciences du Vivant
  • d’un diplôme recon­nu équi­valent par les Universités Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire) et de Montpellier (France)
  • d’un diplôme d’État de Doctorat en Médecine humaine, vété­ri­naire ou en Pharmacie ;
  • d’un diplôme d’Ingénieur agro­nome (le diplôme d’Ingénieur du Développement Rural ne donne pas d’équivalence à un M1)
  • d’un diplôme d’Ingénieur en génie sani­taire (le diplôme d’Ingénieur des Techniques Sanitaires ne donne pas d’équivalence à un M1)
  • Maîtriser le Français (écrit et par­lé). Un diplôme d’étude de langue fran­çaise pour les anglo­phones pour­rait être exi­gé le cas échéant.

NB : Les étu­diants en cours de M1 (ou Maîtrise uni­ver­si­taire clas­sique) qui n’ont pas encore leur diplôme et qui sont inté­res­sés par le MIE doivent consti­tuer leur dos­sier en spé­ci­fiant la date pré­vi­sion­nelle d’obtention du diplôme.

Procédure d’inscription

Les can­di­dats inté­res­sés par le M2 MIE doivent :

  1. Télécharger le modèle de CV au for­mat élec­tro­nique Word en cli­quant sur le lien bleu ci-des­sous. Dans la boîte de dia­logue qui s’affiche, choi­sis­sez « Enregistrer sous » pour sau­ve­gar­der votre fichier au for­mat Word sur votre PC, et le nom­mer comme ci-après: CV_Nom.Prénom
  2. Remplir le CV avec les infor­ma­tions demandées
  3. Constituer un dos­sier com­pre­nant le CV nom­mé comme indi­qué plus haut, la lettre de moti­va­tion, les lettres de recom­man­da­tion, la copie du bac­ca­lau­réat, la copie du der­nier diplôme obte­nu et exi­gé, la pièce d’état civil, la copie de la carte d’identité. Aucun autre docu­ment ne doit être joint à ce dossier.
  4. Envoyer le dos­sier com­plet par mail au secré­ta­riat du MIE à l’adresse : secretariat.mie.cemv@gmail.com.
  5. Le secré­ta­riat du MIE vous adres­se­ra un e‑mail de confirmation.

Les dos­siers seront exa­mi­nés en juin et les étu­diants dont les dos­siers sont rece­vables seront infor­més de leur pré-ins­crip­tion par courriel.

En cas de pro­blème tech­nique, et pour toute demande d’information, veuillez adres­ser un cour­riel au Secrétariat du MIE (secretariat.mie.cemv@gmail.com) en pré­ci­sant bien l’objet de votre demande.

Du fait de sa loca­li­sa­tion en Côte d’Ivoire et au Burkina Faso, l’inscription au M2 MIE néces­site le paie­ment de frais de for­ma­tion qui s’élèvent à 12 000 € soit 7 900 000 FCFA. Ces frais per­mettent de cou­vrir pour chaque étu­diant, une allo­ca­tion de sub­sis­tance pour les 9 mois de cours et les frais liés aux ensei­gne­ments. Le MIE ne dis­pose pas de bourse à cet effet et il encou­rage les étu­diants à recher­cher acti­ve­ment par eux-mêmes ce finan­ce­ment auprès de leur ins­ti­tu­tion de rat­ta­che­ment, et de bailleurs de fonds comme l’Agence Universitaire Francophone, les ser­vices cultu­rels des ambas­sades, la Banque Islamique de Développement, les Ministères de l’Enseignement supé­rieur de leur pays. L’équipe péda­go­gique du MIE peut assis­ter les étu­diants dans leur recherche. L’inscription ne sera consi­dé­rée comme défi­ni­tive que si le mon­tant des frais de for­ma­tion est réglé au moment de la rentrée.

Diplômes universitaires

Ce cours Pasteur-IRD se foca­lise sur les mala­dies dont les agents étio­lo­giques sont trans­mis par vec­teurs et qui consti­tuent un pro­blème majeur de san­té publique. Les pays de la zone inter­tro­pi­cale sont concer­nés au pre­mier chef, mais les zones tem­pé­rées ne sont pas épar­gnées avec la sur­ve­nue récente de mala­dies vec­to­rielles et les récentes inva­sions d’espèces vectrices.

La com­pré­hen­sion glo­bale des rela­tions hôte-vec­teur et vec­teur-agent patho­gène est fon­da­men­tale dans l’étude de ces mala­dies. C’est cette approche que le cours va pro­mou­voir pour for­mer des ento­mo­lo­gistes médi­caux capables d’apprécier le rôle des vec­teurs dans le fonc­tion­ne­ment des éco­sys­tèmes vec­to­riels et d’envisager la  rup­ture de la chaine de trans­mis­sion vectorielle.

L’entomologie médi­cale est une dis­ci­pline phare pour de nom­breux pas­teu­riens et irdiens du pas­sé et d’aujourd’hui ; dans ce lignage, ce cours asso­cie déli­bé­ré­ment tra­di­tion et modernité.

Des confé­rences seront don­nées le matin par des cher­cheurs spé­cia­listes, pour pré­sen­ter les connais­sances clas­siques et les plus récentes concer­nant la bio­lo­gie des arthro­podes héma­to­phages, les agents infec­tieux trans­mis – en insis­tant sur leurs modes de trans­mis­sion -, et les mala­dies associées.

Des tra­vaux pra­tiques par­ti­ci­pa­tifs seront pro­po­sés l’après-midi, éga­le­ment par des cher­cheurs spé­cia­listes, autour des prin­ci­pales familles d’insectes et de tiques vec­teurs ou nui­sants, ain­si qu’autour des prin­ci­pales tech­niques uti­li­sées en ento­mo­lo­gie médicale.

Les étudiant(e)s sont invité(e)s à par­ti­ci­per acti­ve­ment aux échanges avec les res­pon­sables et les inter­ve­nants, au cours des confé­rences, pen­dant les trois tables-rondes et lors d’un expo­sé indi­vi­duel devant un jury de spé­cia­listes sur un sujet d’entomologie médi­cale non trai­té en conférence.

Ce cours IP-IRD aura lieu chaque année paire à l’Institut Pasteur Paris. Un ate­lier d’une durée de 2 semaines abor­dant une thé­ma­tique d’entomologie médi­cale y sera ados­sée. Cet ate­lier sera réa­li­sé dans un ins­ti­tut du RIIP les années impaires sur un sujet d’importance pour la région.

Sponsor : Nous remer­cions le LabEx IBEID pour son soutien.

CANDIDATURES

Les can­di­da­tures sont éva­luées par le Comité du cours.

Membres du Comité du Cours : E. Coeffier-Vicart (Institut Pasteur) ; A.B. Failloux (Institut Pasteur) ; A. Fontanet (Institut Pasteur) ; F. Rodhain (Institut Pasteur) ; C. Rogier (IRBA) ; V. Robert (IRD) ; M. Sala (Institut Pasteur), H. Waxin  (Institut Pasteur) ; Olivier Silvie (UPMC)

Contact        : enseignement@pasteur.fr

Objectifs

Approfondir et remettre à jour les connais­sances en matière de Pharmacie Vétérinaire pour un meilleur  conseil à l’officine. Le but de ce DU n’est pas de rem­pla­cer le vété­ri­naire mais de pou­voir don­ner de véri­tables conseils à l’officine et de savoir réorien­ter le client vers un vété­ri­naire en cas de nécessité

Compétences 

Etre capable de savoir  don­ner un bon conseil vété­ri­naire au comp­toir. Savoir redi­ri­ger vers le vété­ri­naire en cas d’urgence.

Justification de la formation

Les phar­ma­ciens ont une for­ma­tion très suc­cincte en matière de phar­ma­cie vété­ri­naire lors de leur cur­sus uni­ver­si­taire. Pourtant ils sont confron­tés à de nom­breux cas de comp­toir concer­nant les ani­maux de com­pa­gnie de leurs clients. Près d’un foyer sur 2 pos­sède un ani­mal fami­lier, soit un client sur 2 qui entre à la phar­ma­cie pos­sède un ani­mal de com­pa­gnie. La France est le 2ème mar­ché de san­té ani­male au monde avec 41 mil­lions d’animaux de rente (bovins, porcs, ovins, caprins), 301 mil­lions de volailles (pou­lets, dindes, pin­tades, canard), 9 mil­lions de lapins, 800 000 che­vaux, sans oublier 7,3 mil­lions de chiens et 12,7 mil­lions de chats, 2,84 mil­lions de petits Mammifères, 5,75 mil­lions d’oiseaux et 34,22 mil­lions de pois­sons (enquête FACCO/TNS SOFRES, mai 2015). Des ani­maux de com­pa­gnie en bonne san­té contri­buent à l’équilibre affec­tif et psy­cho­lo­gique d’une large part de la popu­la­tion. C’est pour­quoi, il est du devoir du phar­ma­cien de savoir conseiller cor­rec­te­ment au comp­toir la popu­la­tion. De plus, selon l’organisation mon­diale de la Santé Animale, 75 % des mala­dies émer­gentes chez l’homme sont d’origine ani­male. En contri­buant à pré­ve­nir les mala­dies ani­males infec­tieuses, le médi­ca­ment vété­ri­naire par­ti­cipe à la sécu­ri­té sanitaire.

Contenu 

– Biologie, soins et sui­vi d’un ani­mal de com­pa­gnie chien, chat
– Dermatologie
– Bactériologie – viro­lo­gie
– Parasitologie
– Homéopathie vété­ri­naire
– Cancérologie
– Toxicologie
– Nouveaux Animaux de Compagnie (NAC) : furet, rat, cochon d’Inde…
– Chevaux
– Animaux de Rente : bovins, ovins, sui­dés, équi­dés
– Législation
– Représentants phar­ma­ceu­tiques de pro­duits vétérinaires

Organisation – Validation 

La pré­pa­ra­tion du Diplôme s’effectue en 3 semaines de cours (102 heures d’enseignement + 2 heures d’examen).

Les connais­sances acquises sont contrô­lées par un exa­men écrit. Deux ses­sions seront orga­ni­sées. Les can­di­dats, absents à la 1ère ses­sion et non excu­sés par cour­rier jus­ti­fi­ca­tif, ne pour­ront se pré­sen­ter à la 2ème session.

Public concerné

– Pharmaciens
– Médecins
– Préparateurs en phar­ma­cie
– Étudiants en Pharmacie ayant vali­dé la 5ème Année
Sur dos­sier exa­mi­né par la direc­tion péda­go­gique : toute per­sonne ayant qua­li­té pour déli­vrer des médi­ca­ments vétérinaires.

– Effectif maximum/groupe : 20

Enseignants

Professeurs et Maîtres de Conférences de l’Université de Lille – Droit et Santé, Faculté des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques de Lille,
Professeurs et Maîtres de Conférences de l’École Nationale Vétérinaire d’Alfort,
Professeurs de l’Institut de Genech,
Docteurs Vétérinaires Praticiens,
Docteurs en Pharmacie (Officine).

Coordination

Responsable de la Formation  : Christine Demanche

Faculté des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques de Lille
e‑mail : christine.demanche@univ-lille2.fr

Responsable du ser­vice de Formation Pharmaceutique Continue :
Véronique DE LA BROISE  SARAMAK
Département F.Ph.C.
Faculté des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques
3, Rue du Professeur Laguesse
B.P. 83 – 59006 LILLE Cédex
e‑mail : veronique.delabroise@univ-lille2.fr

Site web 

http://pharmacie.univ-lille2.fr/formation-continue/programmes-inscriptions/duec-pharmacie-veterinaire.html

Lieu de for­ma­tion : Faculté des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques de Lille

DU orga­ni­sé par le Service de Parasitologie, Faculté de Médecine, Université Rennes 1, en par­te­na­riat avec le Service de Maladies infectieuses.

Objectifs

  • Acquérir des connais­sances médi­cales sur les mala­dies tro­pi­cales et autres mala­dies infec­tieuses endé­miques: diag­nos­tic, prise en charge, épi­dé­mio­lo­gie et moyens de lutte (Module Médecine sous les tro­piques). Notions éga­le­ment de patho­lo­gies tro­pi­cales non infec­tieuses : enve­ni­ma­tions, dénutrition…
  • Acquérir des connais­sances médi­cales sur la méde­cine des voyages (Module Médecine des voyages)
  • Connaître l’organisation des moyens huma­ni­taires et la ges­tion de situa­tions d’urgence (Module Médecine d’urgence et humanitaire)
  • Acquérir des notions pra­tiques simples de diag­nos­tic bio­lo­gique (Module Biologie sous les tropiques)

Organisation pratique

  • Cours (h) et TP (h) d’octobre à juin, à rai­son de 2 jours par mois (jeu­di-ven­dre­di). Intervention d’enseignants de Parasitologie, Microbiologie, Virologie, Maladies infec­tieuses, Dermatologie, Hépatologie de Rennes et d’autres CHU, de méde­cins huma­ni­taires (Epicentre), mili­taires, de Biologie sans Frontières…
  • Examen en juin : exa­men théo­rique, exa­men pra­tique (recon­nais­sances para­si­to­lo­giques de base et diag­nos­tic de palu­disme), et pré­sen­ta­tion orale en juin ou sep­tembre (lec­ture cri­tique d’article ou mémoire court sur une expé­rience pro­fes­sion­nelle tro­pi­cale ou de syn­thèse bibliographique)

Public

Internes, méde­cins, phar­ma­ciens, infir­miers, sages-femmes.

Inscriptions

  • Candidature à par­tir de mai par cour­rier, avec lettre de moti­va­tion et CV
  • Sélection et confir­ma­tion des ins­crip­tions durant l’été

Renseignements et inscriptions

Secrétariat de Parasitologie, ou Pr Jean-Pierre Gangneux
Faculté de Médecine, 2 ave­nue Professeur Léon Bernard, 35043 Rennes cedex.
Tel. 02 23 23 47 27

Aides à l’enseignement, l’apprentissage

eanofel

Un mes­sage de la part du Pr  Dominique Chabasse:

Le site eano­fel a été pré­sen­té au congrès de la SFP-SFMM à Grenoble en « prime time ».

Il est des­ti­né à toute la com­mu­nau­té des Parasitologues et des Mycologues, il va désor­mais rem­pla­cer la saga des CD-Rom ANOFEL deve­nus obso­lètes, il doit main­te­nant se déve­lop­per, s’enrichir de nou­veaux docu­ments ico­no­gra­phiques, cha­cun d’entre nous pos­sède cer­tai­ne­ment dans son domaine de pré­di­lec­tion quelques ico­no­gra­phies rares où ori­gi­nales, de haute valeur péda­go­gique, pou­vant être dif­fu­sées, tout cela réunit peut être un outil com­mun à nous tous.

Donc mer­ci à tous d’enrichir la col­lec­tion en envoyant des photos.

Site d’aide au diag­nos­tic de quelques espèces de mol­lusques d’intérêt médi­cal et  vétérinaire.

http://echanges.sante.unilim.fr/malacologie

Un petit site inter­net sur les para­sites des volailles :

http://eimeria.chez-alice.fr/Accueil.html